Dans l'Ascenseur

Dommage pour ce jeune homme, l'ascenseur s'arretta presque immediatement au niveau VII, celui du departement des jeux et sports magiques.

Cela faisait deux bonnes heures que Mortisia Cauldwell la directrice de la section avait entamer son travail. Elle arrivait toujours de bonne heure pour ne pas avoir à supporter la foule de l'atrium et devoir discuter avec des personnes qu'elle ne connaissait ni d'adam, ni d'eve ou qui était tout simplement ininterressants. C'était donc l'heure de la pause pour cette jeune demoiselle qui faisait plus agée que son âge surement à cause de ses gouts vestimentaires trés classiques. Une jupe noir, des bottines, un chemisié noir et ses cheveux long et brun attachés en chignon, plus classique tu meurt. Heureusement qu'elle n'avait pas de lunette. D'ailleur le plus idiot des membres du ministere pourrait se demander pourquoi elle sortait de ce departement ... elle n'avait pas la tête de l'emplois.

Aprés avoir commencer à regler certaines petites affaires sans grandes importance, elle avait decider d'aller dans la salle de repos et les escaliers n'étaient pas vraiment sa tasse de thé. Appuyant sur le bouton de l'ascenseur, il s'ouvrit casi instantanement. Au grand malheur de Mortisia il n'était pas vide. Elle soupira legerement et entra sans même lui adresser un regard.

"Atrium !"

Mortisia était rester un peu à l'avant de l'ascenseur, ne pouvant pas voir l'homme derriere elle. Et il faut avouer qu'elle n'appreciait pas trop ce genre de situation, avoir quelqu'un qui pouvait l'observer à son aise dans son dos ... raaaah, ça avait le don de la mettre mal à l'aise !
Elle jeta un oeil sur le côté mais même comme ça, elle ne le voyait pas ...
Elle regarda de l'autre côté dans les especes de grands miroirs qui permettait aux visiteurs ou mêmes aux membres du ministere d'ajuster leur tenue, et appercut les yeux fuyant de l'homme se mettre soudainement à regarder autre part ... Pathetique.

En tout cas, elle esperait qu'il n'allait pas descendre au même endroit qu'elle, les demandes formulées en premieres sont toujours les premieres exaucées, logique. Hors l'ascenseur s'était mit à descendre et les portes s'ouvrirent devant le grand hall de l'atrium, bondé de monde et de bruit. Raaaaah ! Non, elle n'allait pas se jeter la dedans.

Elle se tourna que legerement vers l'homme.

Vous descendez ici aussi ?

Mortisia regarda la foule de l'atrium, pourquoi est ce qu'ils prenaient tous leur pause au même moment, c'etait du foutage de g*eule ! Elle qui voulait prendre une pause, c'etait pas pour se retrouver entourée de gens qu'elle n'aimait pas. Et puis cet homme là, completement desagreable. Il se prenait pour qui ?!

hun hun, il travaillait au departement des petites bestioles ... pfff ... c'est à cet endroit que les bons à rien se retrouvait le plus souvent. Ceux qui se sentent mieux avec des bestioles qui jaquassent sans arrêt ... pathetique ...

Elle resta dans l'ascenseur, son regard toujours fixé sur l'homme, un sourcils haussa.

Ah ouais vous travaillez, vous ? J'aurais pourtant cru que vous faisiez partit d'un groupe de jeune en voyage scolaire ...
Moi je suis la directrice du departement des jeux et sports magiques, et figurez vous que je travaille plus que vous ... ça fait deja deux heures que je suis là ... Alors vous allez pas me faire une crise ... je retourne à mon departement si ça me chante ...

Mortisia se mit à ricaner doucement, ce pauvre garçon. Il croyait vraiment que son "travail" était plus important que le sien, sauf que lui n'est qu'un sous-fifre du ministere alors que elle était une directrice. Elle avait ramer pour en arriver là, et si on lui avait donner ce poste c'est qu'elle en avait les competences.

"Figurez vous jeune homme que les retour du ministere qu'on la plupart des sorciers Britaniques et Irlandais n'est pas au niveau des animaux ... C'est produits commerciaux comme vous dites, font vivrela reputation du ministere auprés du "peuple" si j'ose dire ... franchement qu'un animal soit plus ou moins bien traités, importe peu de personne. Mais qu'un pays organise la plus grande coupe de Quidditch de l'année ... ça fait plus d'impacte ... Pas besoin d'être un étage plus élevé pour dire que vous êtes plus important. Et croyez moi on ne se tourne pas les pouces, là où je travaille ... "

Elle releva le menton, legerement, d'un air un peu hautain. Plus vite elle serait loin de cet energumene, mieux ça serait. De nos jours, le ministere embauchait vraiment n'importe qui. Elle ferma les yeux un instant, pensant à quoi ressemblerait sa vie professionel si jamais vous-savez-qui retrouvait ses forces ... fabuleux

Quand elle rouvrit les yeux, ce fut pour tomber nez à nez avec une petite blonde toute gigotante. Liberty Ozawa ... encore elle. Toujours en pause celle la, le peu de temps où elle la voyait dans son bureau c'etait pour envoyer des cartes postales. Elle lui lanca un regard noir avant de reporter son attention sur les portes de l'ascenseur qui venait juste de se refermer

"Vous n'avez pas de travail madame Ozawa ?"

Catastrophe, Enfer et Damnation ! Liberty qui avait espéré que le simple fait qu'elle aille se chercher une tasse de thé dans la Salle de Détente, était à deux doigts de se retrouver au milieu d'un interrogatoire mené par son boss. Et il fallait avouer que Mortisia Cauldwell avait un don pour mettre Liberty mal à l'aise (et pourtant, il en fallait beaucoup pour l'intimider).

J'y retournais justement ... grommela Liberty en réponse à Mortisia, mais heureusement (malheureusement ?) la voix du jeune homme couvrit la sienne.

Lierbty comprit immédiatement quel était l'objet de la critique qu'il portait, et son sang ne fit qu'un tour : une sorte d'alarme pro-Quidditch se réveilla instinctivement.

Seriez-vous en train de dire que le Quidditch est un sport de fainéants ? Et vous vous faites quoi au juste à cette heure ci ? Le service courrier ?
Hey, qu'est ce que vous insinuez, là ?

Déjà, le petit voyant lumineux indiquait le niveau VII, mais alors que les portes commençaient à s'ouvrir, Liberty pressa le bouton sur lequel était écrit "Atrium". Elle n'avait pas l'intention de laisser filer le cet homme sans explication préablable.

Mortisia fixait Liberty Ozawa d'un regard noir ... toujours à prendre une pause et jamais dans son bureau, c'etait fatiguant à force.
Quand l'homme reprit la parole et ses commentaires cinglant, Mortisia comprit tout de suite qu'elle avait marquer un point. Il n'avait pas beaucoup de repartit.

Et dire qu'a l'origine on se servait des animaux pour manger, pour survivre ...
Madame Ozawa, vous avez en face de vous un homme qui travaille à la regulation des bestioles à pâtes et qui pretend que son departement est plus important que le notre ...

Elle fut soulager que les portes de l'ascenseurs s'ouvrent devant le couloir de son departement. Fin de la pause. Elle allait pousser Liberty devant elle pour être sûre qu'elle aille travailler mais cette derniere ne trouva rien de mieux que d'appuyer sur le bouton de l'atrium. Quelle idiote !

Vous jouez à quoi là ?!

Liberty ne souffla un mot face au ton autoritaire de Mortisia. A quoi elle jouait ? Elle jouait à défendre leur département, elle pourrait lui en être reconnaissante, elle qui tenait tellement à avoir toujours raison de tout !
Cependant, elle n'eut pas à se taire longtemps, car le gars du Département des Animaux Magiques toucha un point sensible (volontairement à n'en pas douter). Une fois de plus, le sang de Liberty se mit à bouillir et l'adrénaline à monter dans ses veines avec autant de puissance qu'un geiser.

De quel droit vous permettez-vous d'insulter un joueur de Quidditch que vous ne connaissez même pas ?! Ils ne sont pas tous comme ça figurez-vous ! D'accord, tout le monde ne peut pas avoir un travail aussi sérieux que de renvoyer les Veracrasse dans leur milieu naturel, mais vous connaissez un mot qu'on appelle "passion" ??? Et arrêtez de vous foutre du m...

Mais elle n'eut jamais l'occasion de terminer sa phrase, car un étrange bruit mécanique la stoppa dans son élan. Elle tendit l'oreille un instant, mais comme l'ascenceur semblait toujours descendre, elle devait probablement avoir rêvé.

Et Sanae n'est pas du genre à se recevoir en Cognard en pleine poire ! >_<

Mortisia faillit perdre patience. Elle se retourna vers l'homme et pointa un doigt accusateur sur son torse. Pour qui il se prenait pour critiquer des joueurs de quidditch. Elle qui avait été joueuse, elle connaissait la difficulté de vivre lorsqu'on est ainsi connu, lorsque les média vous court aprés pour le moindre petit scoop. Un regard noir et la machoire sérrée.

Vous croyez que c'est plaisant de devoir faire attention au moindre petit detail de son physique, plus pour l'image que l'on va donner que pour le sport qu'on pratique. Les joueurs de Quidditch sont d'abord reconnu pour leur capacités de jeux, c'est bien compris ? Vous peut être que vous vous occupez bien des hypogriffes, c'est du pareil au même. Nous figurez vous, qu'on s'occupe à ce que tout ce passe dans les norme ... et le côté commercial comme vous dites, ne vient pas du ministere mais des médias autour. Nous on est là pour assurer la sécurité, l'organisation et le bon fonctionnement d'un tas de choses. Alors cessez de critiquer des choses que vous ne connaisser pas !

Elle se retourna vers les portes de l'ascenseur et cria, à bout de nerfs

Departement des jeux et sports Magiques !

Deja qu'un bruit resonnait bizzarement, ce fut de pire en pire. L'ascenseur se stabilisa aprés un gros crissement. Et au lieu de redescendre ou de monter, il ne bougea pas d'un pouce. Mortisia grogna et commenca à taper sur le bouton de son étage.

Voila à quoi ça nous mene vos bêtises !

Bon ça suffit, on se calme ! ordonna Liberty.

Tandis que ses yeux lançaient des Avada Kedavra au garçon du Département des animaux magiques, les mains de Liberty tremblaient sur son gobelet à présent complètement refroidi. Non mais pour qui il se prenait celui-là ?! Qu'est-ce qui lui prenait d'insulter ainsi Sanae sous le simple prétexte que lui au moins avait réussi !
Si Liberty n'avait pas été bien élevée, elle aurait volontiers envoyé son thé froid à la figure de l'autre idiot. Au lieu de ça, plus gênée qu'autre chose, elle sortit sa baguette magique et prononça une formule de rétrécissement sur son gobelet : celui-ci retrécit tellement qu'il finit par disparaître.

Bon, on dirait que je suis la seule personne calme dans cet ascenceur, déclara Liberty en se frottant les mains. Je ne vois qu'une solution, signaler que l'ascenceur est bloqué. Il sert à quoi cet interrupteur ?

Elle pointait du doigt un petit levier de couleur rouge qui pouvait tout à fait ressembler à un signal d'alarme. Cependant, elle n'y toucha pas, car si catastrophe se produisait, on trouverait encore le moyen de dire que c'était sa faute ... De la part de l'autre idiot, ça ne la dérangeait pas plus que ça, mais si elle se mettait sa patronne à dos de bonne heure le matin ...

Mortisia se retourna vers Liberty, de plus en plus enervée. Non mais c'est vrai, ils étaient bloqués dans un ascenseur, elle ne pouvait ni supporter la presence de l'autre idiot ni de cette blonde et en plus on lui demandait de se calmer. C'etait l'hopital qui se foutait de la charitée.

Madame Ozawa on ne vous demande pas votre avis ... je me calmerais si je le souhaite. Et vous allez me debloquer cet ascenseur immediatement, j'ai pas que ça à faire moi ! Dire que je comptais prendre une pause calme et sereine, me voila bloquée dans un truc moldu avec deux personnes dans votre genre ... c'est bien ma vaine !

Elle se retourna ensuite vers le Monsieur-ami-des-animaux.

Oui c'est votre faute ! Si vous aviez laisser cet ascenseur aller là où il le souhaitait, il serait pas rester bloquer ici. Mais la patience n'a pas l'air de faire partit de vous, vous savez ce que c'est ? Non ? Alors vous n'avez pas votre place au ministere ... LIBERTY debloquez moi ça !!! ... Et vous, arrettez de critiquer les personnes que vous ne connaisser pas, c'est agacant à force !

Liberty avait sursauté (c'est à dire fait un bond d'au moins deux mètres) lorsque Mortisia lui avait crié dessus mais avait fait de son mieux pour garder sa contenance, du moins pour en avoir l'air.
Aussi laissé-t-elle échapper un petit reire nerveux et tendit lentement sa main vers le levier. La catastrophe approchait, ça elle en était sûre.
Le bon côté de la chose, c'est qu'elle n'eut pas à la provoquer elle-même cette catastrophe, car l'ami des bêtes avait pris les devants.
Cependant, le calme dont Liberty avait prétendu disposer à présent ne trompait plus personne : elle était devenue livide.

C'est ... c'était quoi ce bruit ? o_o

Son regard alla du jeune homme à Mortisia puis de Mortisia au jeune homme.
Tout à coup, elle se retourna vers le panel de boutons : juste à côté du levier, il y avait une petite plaque métallique sur lequel était gravées les morts suivants :

Citation :

En cas de panne d'ascenceur, n'actionnez surtout pas ce levier.

-_________________________________-"""""

Mortisia avait croiser les bras et tapait du pied frenatiquement. Elle detestait ce genre de situation, elle detestait ça. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué hein ? Non mais vraiment ... La machoire serrée, elle regardait tour à tour Liberty et l'homme ... ( )

Et cette fille qui ne foutait rien .. on se demandait vraiment à quoi elle pouvait bien servir. C'est sur que c'etait facile de rentrer au ministere quand on est pistonner par des joueurs célèbres qui ne valent pas mieux qu'elle. Elle grogna interieurement et detourna le regard, pour s'observer dans le miroir. Heureusement, elle était toujours presentable.

Elle se redressa vivement quand l'ascenseur fit un bruit de feraille peu rassurant, se retournant vers le panneau de commande, les yeux equarcillés.

Ah bah ça c'est sur ! Merci d'être la monsieur-ami-des-bêtes ... Pourquoi vous avez fait ça ?! Vous savez pas lire ?! Ah mais c'est pas possible ... Faut tout faire par soit même ici.

Deglutissant sa salive difficilement elle se dirigea vers le panneau de controle, bousculant Liberty et l'homme pour lui laisser la place. Elle observa le pannel de bouton, les sourcils froncés. Quelle idée de faire autant de bouton pour une boîte métallique ... Son regard s'arretta sur un bouton rouge tout en bas avec un point d'exclamation à côté ... ça devait surement être ça.
Elle appuya fortement dessus et attendit un signe mais ... rien

Ah mais c'est quoi ces machines qui marchent pas !!!!

Elle frappa sur le panel de bouton fortement ce qui produit un nouveau crissement métallique sous leurs pieds.

Liberty soupira. La situation se présentait de plus en plus catastrophique. Si encore elle avait été coincée avec des personnes agréables ou susceptibles de faire la conversation au cas où ils devraient rester coincés pendant des heures dans cette boîte ... Mais non, il avait fallu qu'elle se coltine Mortisia Dracula Cauldwell et un ami des bêtes vraiment pas futé ... d'ailleurs comment s'appelait-il celui-là ? Oh, et puis après tout ça n'avait aucune espèce d'importance. Liberty n'avait pas l'intention de faire long feu ici.
Elle soupira une fois de plus et s'assit afin de ne pas perdre l'équilibre, adossée à l'une des parois de l'ascenceur.

Faites ce que vous voulez avec ce ... machin. Au point où on en est je sais pas si la situation peut encore empirer.

Elle passa sa main dans ses cheveux, se retenant de ne pas se mettre à hurler. La situation était était loin d'être rassurante. Liberty eut une petite pensée émue pour ses enfants. Si ça se trouve, l'ascenseur allait s'écraser et ils allaient tous y rester !

Non, finalement que personne ne touche à ce levier ! On n'a qu'à ... je sais pas moi ... Il n'y a pas moyen d'envoyer un signal à l'extérieur avec un sort ? Merde c'est vrai, on est des sorciers après tout, on devrait savoir faire ça !

L'ascenseur se remit en marche d'un seul coup prenant par surprise les occupant.

Sirak assez énerver de devoirs se trimballer son dossiers qui commencait à peser tout de même, s'approchant de la porte de l'ascenseur, il donna un grand coup de piéds, sur un coup de nerfs, sur l'intérrupteur. S'il avait sus que dans l'asenseur une athmosphère encore plus énervé y réigner, il aurait certainement courus à toute jambe prendre un autre ascenseur.

- Aller!!! je vais pas me trimballer ce dossier pendant deux cents ans!!! Si seulement les aurors pouvait réster en place cinq minute!

Les portes s'ouvrirent devant lui et il pénétra sans jeter un seul coup d'oeil aux personnes déjà présente. Il demanda l'Atrium à l'asenseur et patienta en tappant du piéds pendant que les personnes dèrrière lui se jetait des regards dèrrière lui.

- Bonjours, dites Vous connaissez Duo Maxwell l'aurors?

Leur demanda-t-il sans vraiment attendre de réponse positive, il regardait devant lui en fronçant les sourcils et en arrangeant les papiers devant lui avec son menton.

* Je suis maudit...*