l'appartement n°13

Il était tard ,Andromaque avait finit par demedé un appartement prés du boulot pour pouvoir allé est venir sans passé par le cartier des moldu.Donc on lui avait remit la clef de l'appartement 13 avec un êtrange sourire. Nomarlement a son arrivé tout ses carton devér être déjà sur place.


Et Quand elle arriva devant l'impréssionant bâtiement elle comprit pourquoi on lui avait sourit.Il avait l'air neuf ,mais d'êtranges vibrations émmanait de l'immeuble .
Elle entra dans la cage d'ecsalier ,il était êtrangement emcobré de feuilles mortes ,elle avença voulu éclairé la lumière et évidement comme toutjours dans se grenre de situation la lumière ne machait pas!

Elle s'enfonça dans le batiment en souriant ,elle alluma une lampe poche magique elle en portait toujours une au cas ou ^^ les mur était couvert d'inscrition de style

death , will kill you .....et tout sorte d'autres mots doux .....
Se qui poussa Androm. a remarqué pertinement.
"Que c'est charment" elle vit soudent quelque chose bouger barqua sa lampe dessu et cru voir un instant le mur suinter de sang.

"et voila pas possible d'avoir un appart sans colocataire !"

Elle arriva enfin devant la porte 13 .elle se baissa pour sortir ses clef et quand elle se releva elle retrouva nez a nez avec une petit fille dont le visage était caché par une épaise cheveulur noir et grasse ,au tein bleu.
Andromaque ne bougea pas puis sourit au spectre et dit :

" salut !"
le spectre grognia et disparu ,elle secoua la tête puis ouvrir la porte qui bein évidement grinça affreusement ,a l'intreieur l'apparement était asser grand ,les cartons de déménaement gissé éventré par terre .

Elle entra a la porte se fermera dérrière elle. Il eut- comme un oragant dans la maison tout les objet volait se fracassant contre les murs.Alors calment Andromaque s'assit par terre en tailleur .son visage passa a un millimaitre d'un cisaux enragé. Puis elle fit une incatationest tout se calma le fantôme était neutalisé .

"Je te laisse dans monde a condition que tu fasse plus de mal et tu vriva avec moi!" Dit t-elle a haute voix le fantôme en signe de paix rendit au l'immeuble son vairitable éclat.

"voila une bonne chose de faite"

Elle se mit a rangé son nouveau chez-elle avec l'aide du sepctre.
Quand se fut finit l'appartement se composan d'une immence salle à manger de deux chambre et d'une salle de bain était sublime .

Andromaque s'assit sur l'un des grand canapé de velourd pourpre.
On sonna a la porte .

(vien qui veux)

merline pensa de bon ton a acceuillir sa voisine non pas de palier mais de batiment.
elle alla sonner donc chez adrom pour lui proposer du jus de citrouille et quelques amuses geules pour lui souhaiter la bienvenue.

elle sonna donc a la porte quand celle si s'ouvri elle s'annonca :

"Bonjour je suis merline et je viens vous souhaiter la bienvenue acompagner du jus de citrouille et quelques amuses geules!!!!

" c'est tres migon tout ca !! félicitation pour vos gouts !!!, ou puis je deposer ceci , je ne reste pas je ne veut pas vous deranger dans votre amenagement sachez que je suis disponible si vous aviez par le grand hazard besoin d'aide "

merlin posa son plateau et ne voulant pas dernager se dirigea vers la porte d'entrée

Le plateau posé ,Andromaque lui sourit ....flattée .elle lui répondit poliment .

"Non ,je n'aurai pas besoin d'aide merci ,j'ai tout se qu'il faut "

a ses mots le plateau lévitha quelques instant puis il se diriga vers la cuisine bien sagement ,suivit de la carafe se qui était une manifitétation de son cher locataire .Sa salle à mangé se composé en faite de deux grand sofas couleurs sang ,d'un tapis persant qui était en total harmonie avec le tout sur le mur d'en face un immence tableau dépeingnant une chimère au galos peint par andromaque elle-même compléter la pièce.

Elle se leva racompagnia gracieusement Merline a la porte,lui sourit puis ferma la porte .Une fois la porte fermé elle soupira ,elle hôta son manteau,sauta sur le canapé, se coucha pareussement ,une couvertur vola soudain puis la couvrit .

"merci "dit-elle au fantôme.

Puis elle sombra dans un someille bien fesant , quand elle fut réveiller par un inportum!
(vien qui veux)

achevé de mélancolie profonde, noyer dans les vagues de cette insignifiante détresse, aspirée dans la noirceur,...s'étouffant sous les pile de coussins du divan! andromaque marmonna la bouche empli de duvé déchiketer de velour rouge un leger et grincheu "entrez" .... ...la porte s'ouvrit une ombre silencieuse se déplaca a pas leger zig zagant lentement juska elle, traversant la piece, kom si elle fersait un défiler de mode pour ensuite pencher sa tete chevelu o dessu du visage emitouflé de sa morbide compagne.
faust approchant: , faust se penchant :
andromaque l'apercevant: ..andromaque un peu tro près:

(trop fort mo . )

La porte s'ouvrit soudain ,laisant entrevoir une immense pièce obcsure,ou il pouvait distgué une table de verre sur laquelle il cru recontre un dragon,il baissa les yeux et vit Amdromque allongée sur divan pourpre disparaisent a moité sous une couverture .Il resta un instant immobile ,Heureux enfin autan qu'il le pouvais .....

Des vieux souvenir sugirent en lui il ne l'avait pas vu depuis si lontemps ,il avait tellement changé ,souffer .Il se souvein des jeux innoçons prés de la marre,des balades a dos d'hypogryfe mais tous cela était si lointeint comme dans une autre vie.


Il se décida a entrait ,dés qu'il fut a l'interieur la porte se referma dans un vent galcial ,il crut voir pendent une seconde une petite fille au cheuveux noir et tein bleu.Il se dit

* cela doit être un de mes futur patiens *

Puis silencieusement avec sa lenteur habituelle il s'aprocha du divan ,il s'arréta a quelques mètres de ce-lui ci et posa ses valises délicatement et hota son chapeau.Puis avanca ,s'agnouilla devant le canapé ,puis contempla sa cousine .Elle était jolie cependant moins belle que son amour.Il se pencha sur déposé un baiser sur sa joue en guise de salut.

Ce qui eut pour effet de l'éveiller telle la belle aux bois dormant ,son visage était a quelque centimètre du sien ,il sourit avec tendresse mais son sourir avait
quelque chose de mélencolique.

Il se releva pour la regardé de tout son mètre quatre-vingt ,puis il lui dit sa voix douce avec un léger accent allements.

"bonsoir Cousine ,je suis désoler de réveiller ....
Comment va tu?"

"aaaaa"....soupira telle, "eh bien la mort reprend son cour cher couzin, d'ici peut, j'envisage d'acheter un chateau en banlieu reculer, pour une agonie plu paisible* et pour une vu meilleure sur le beau fantome de mon voisin* pensa telle san le prononcer pour ne pa décevoir son cousin et ne pa le décevoir en le faisan penser kil repartirai la tête basse, en effet notre cher dame eu pour idée diviter le fantome ainsi ke son couzin et son chien pour un ménage a troi dan le frigo de gran mere ....aaa..kel souvenir le frigo de gran mère, elle se souvien kan elle fu plu jeune avec faust kils jouaient a cache cache et kils se cacher régulièrement dans le frigo de la mémé pour un bonne planke et par la meme occazion désespéré, un passage vers lo de la, une réfrigeration express, mai kan la gran mère les surpri etrin de jouer a sote mouton elnaprécia guerre et il décidere de congeler la povre gran mere dans les frigo, depuis, son cadavre reposé en paix dan le vieu" frigo de grand mère" enfermer dan la cave prés des paire de new rock et multiple bouteille de vodka...vouile frigo granmere, le cadavre, le fantome, le chien du fantome et son cher faust ferait une bonne affaire......^^

le choc de ces apparition frapèrent au plus profon du keur d'angromaque, son cousin...

ele voulait tellement le consoler, lui dire, le prendre et stoper ces peines, mais el ne fi rien kun regard de compréhansion profonde face a cette tragique injustice. Comme l'injustice ronger leurs os...

elle lui esquissa un triste sourir qui en disai fort sur sa faiblesse face a linstant présent...une grosse larme coulat de ses yeu brillant.
et dan ses yeu face a la morbide réalité ne faisai ke rappellai la même réalité.

La même phrase se répétant a chacun des regard croisé avec sa cousine...*La mort continue*

korait elle pu dire...

Le silence auprès de ce canape sembla durer une éternité. Il fermère les yeux et pendant la nuit interminable, Faust rouvrit les yeux accablé de revoir le cadavre de sa femme a son éveil avec kil avai vu vivante un peu plu tot dan son reve...

Andromaque n'était plu la, un court moment de panique lui vint de se dire kelle lavai laisser tomber, mai il sentit lapuis et la chaleur de sa main dabiltude si glaciale apuyé sur sa tete.

Comme un ange protecteur elle lui chuchota à l'oreille un unique souffle tremblant plein de compassion, il fermait les yeux, une larme trahit sa faiblesse,caché par ses longue mèche de cheveux.

Elle le quitta dans la brise du vent, ses voile danssant s'embalant et s'enroulant autour de sa silhouette, la fenêtre ouverte, les volet battant, elle s'appuya contre le rebord les jambe ballant dans le vide, et la lumière de la lune éclairant ses grand yeux vert....


...la mort continue faust...

Andromaque sentit chaque seconde durer une éternité depuis ce jour. Depuis toujour, depuis que la mort continué. A l'aube d'un jour sans lueur, ou la pluie et le ciel gris les attendais à l'horizon.

Elle décida de quitter l'immeuble pour aller marcher dans les sinistre rue de Londre.
Faust , sa femme et son fils, l'accompagnèrent d'un pas vif mais sans joie aucune.

Cette femme envoutante et mystérieuse franchit la porte de sortit de l'immeuble et dévala les escalier abimé de marbre, pour arriver dans une rue vaste et dépourvu d'animation.

Elle pris un tournant d'un pas décidé
pour attérir dans des ruelles à l'allure malsaine et morbide, son regard vif cachait un sorte de malaise continu face au chagement d'atmosphere. et en meme temps, ses lèvre sourriait d'un air mazochiste.

... Faust observa sa couzine un instant et lui demandit enfin la question que tout le monde attendait: on nous rendons nous
le sourire mazo se fit plus grand.

Arrivé a l'entrer d'une boutique antiquaire de style médieval pauvre, elle souleva le paillason et tira une trape avec la stupefaction de Faust qui nen croyait pas ses yeux. La trape s'ouvrit, il descendirent et débouchere sur une station de métro au lumiere faible, tantot séteignant, tantot se rallumant, kan la lumière revenait. Des plainte agonisante gémissait et des corp sucidaire mutilé apparaissai sou leurs yeu....

Elle se pencha sur l'un d'eu a peine envi qui l'observa un instant d'un regard noir pui la reconnu et soupira sanguinolant...
"...je ais ce que tu veut...
...prend la..."